Adoptés par les 193 pays de l’ONU en 2015, les objectifs de développement durable (ODD) structurent l’Agenda 2030 et constituent un cadre universel commun pour un monde plus durable et solidaire. En 2019, la France a établi avec des représentants de la société civile, une feuille de route prenant en compte les caractéristiques nationales. Alors que la France s’est engagée à atteindre les ODD à l’horizon 2030, ils sont encore méconnus par près de 90 % de la population.
De plus, si leur degré d’appropriation varie en fonction des parties prenantes (institutions, collectivités, associations, think tanks, entreprises, citoyens, etc.), la feuille de route reste globalement confidentielle. Pour faire face aux crises que traverse notre société, Florence Provendier voit en la réalisation de l’Agenda 2030, « l’opportunité pour notre pays d'être pionnier, moteur et exemplaire dans un projet qui allie, grâce à une approche systémique, écologie, économie innovante et prospérité pour toutes et tous, sans laisser personne de côté. »
La députée des Hauts-de-Seine affirme que, dans une approche systémique, chacun a un rôle à jouer dont les entreprises. Beaucoup d’entre elles ainsi que des acteurs de la finance se sont d’ores et déjà emparés des ODD car ils y voient trois intérêts majeurs : la possibilité de gagner des parts de marché ou d’en conquérir de nouveaux et un facteur d’attractivité pour recruter des talents.
Les grandes entreprises sont celles qui semblent, à ce jour, les avoir le plus intégrés, certaines les mentionnent dans leur raison d’être, d’autres les utilisent comme outil de pilotage ou comme critère d’indexation de la rémunération variable de leurs collaborateurs. L’appropriation de l’Agenda 2030 par les TPE-PME est souvent le fait de la volonté de dirigeants convaincus de son utilité. Les entreprises en pointe en matière de RSE considèrent les ODD comme un levier pour renforcer leurs démarches et repenser ainsi le partage de la valeur.
Consultez le rapport de Florence Provendier : https://florenceprovendier.fr/dans-les-medias/nous-avonsune-f…nous-reste-8-ans/
De plus, si leur degré d’appropriation varie en fonction des parties prenantes (institutions, collectivités, associations, think tanks, entreprises, citoyens, etc.), la feuille de route reste globalement confidentielle. Pour faire face aux crises que traverse notre société, Florence Provendier voit en la réalisation de l’Agenda 2030, « l’opportunité pour notre pays d'être pionnier, moteur et exemplaire dans un projet qui allie, grâce à une approche systémique, écologie, économie innovante et prospérité pour toutes et tous, sans laisser personne de côté. »
La députée des Hauts-de-Seine affirme que, dans une approche systémique, chacun a un rôle à jouer dont les entreprises. Beaucoup d’entre elles ainsi que des acteurs de la finance se sont d’ores et déjà emparés des ODD car ils y voient trois intérêts majeurs : la possibilité de gagner des parts de marché ou d’en conquérir de nouveaux et un facteur d’attractivité pour recruter des talents.
Les grandes entreprises sont celles qui semblent, à ce jour, les avoir le plus intégrés, certaines les mentionnent dans leur raison d’être, d’autres les utilisent comme outil de pilotage ou comme critère d’indexation de la rémunération variable de leurs collaborateurs. L’appropriation de l’Agenda 2030 par les TPE-PME est souvent le fait de la volonté de dirigeants convaincus de son utilité. Les entreprises en pointe en matière de RSE considèrent les ODD comme un levier pour renforcer leurs démarches et repenser ainsi le partage de la valeur.
Consultez le rapport de Florence Provendier : https://florenceprovendier.fr/dans-les-medias/nous-avonsune-f…nous-reste-8-ans/